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Accueil » Humour » Les Blagues
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| Une femme infidèle est en train de faire l'amour, dans la baignoire pleine de bulles de savon, avec son amant. Soudain, elle entend un bruit de clé dans la serrure.
- Ça doit être mon mari, celui qui est si jaloux, qui arrive pour le week-end, s'écrie-t-elle. Voilà une occasion en or pour toi de vérifier combien d'heures tu peux rester sous l'eau sans respirer...
| | Deux copains s'interrogent sur les moyens de savoir si on est un bon amant ou non.
Le premier dit :
- Si on est vraiment bon, la femme doit s'endormir d'épuisement après l'amour.
Le second s'écrie :
- Je dois être un super coup alors ! Ma femme s'endort toujours en plein milieu.
| | Pendant une dispute conjugale :
- C'est bien toi qui m'as dit que plusieurs hommes avaient demandé ta main hein ? Demande le marié énervé.
- Oui, plusieurs, répond sa femme.
- Eh bien, tu aurais mieux fait de te marier avec celui qui t'avait demandée le premier.
- Mais c'est ce que j'ai fait...
| | Le mariage est comme un mirage dans le désert : Palais, cocotiers, chameaux...
Mais soudain tout disparaît et il ne reste que le chameau...
| | Une dame se rend chez une voyante. Celle-ci consulte son tarot .Après quelques minutes de concentration, finit par déclarer :
- Je vois de très très graves problèmes de santé pour votre mari...
La cliente l'interroge aussitôt:
- Vous voulez dire des problèmes qui peuvent aller jusqu'à la mort ?
Et la voyante de répondre :
- C'est possible... Tout dépend du poison que vous utiliserez !
| | Une femme fâchée rentre dans le bureau de son mari :
- Tu peux me dire qui est cette France Télécom! (En France, c'est l'équivalent de Bell Canada)
| | Une femme qui était allée passer quelques jours chez sa mère, rentre à l'improviste et trouve son mari au bain avec la bonne.
- Sale cochon, hurle-t-elle!
- Cochon, répond le mari, je veux bien. Mais sale, sûrement pas, depuis deux heures que nous sommes dans cette baignoire.
| | Une femme dit à son amie avec laquelle elle est allée courir les soldes dans un grand magasin :
- Cette petite robe à 200 $ me plaît bien. Je la prends.
- Mais, ton mari va t'arracher les yeux !
- Non, parce que j'achète également celle-ci à 450 $, bien qu'elle ne me plaise pas du tout.
- Alors, tu es complètement folle.
- Pas du tout. Vois. Je vais présenter les deux en même temps à Philippe. Il se mettra à hurler : « Tu vas aller en rendre une tout de suite ». Alors, je lui répondrai : « D'accord, mon chéri. Laquelle veux-tu que je garde ? » Et lui, avant de se décider, comme je le connais, il jettera un coup d'oeil aux étiquettes. Et, comme par miracle, la robe qui lui plaira le plus et qu'il acceptera de payer, trop content de s'en tirer à si bon compte, ce sera la moins chère - celle qui me plaît ! Et voilà !
| | Depuis que sa femme vient de dépasser les huit mois de grossesse, ce pauvre mari se trouve condamné à dormir sur le canapé. Ce soir, alors qu'il s'apprête une fois de plus à passer une mauvaise nuit, sa femme le regarde d'un air compatissant. Elle comprend qu'il n'est qu'un homme, et qu'il a des besoins qu'elle n'a plus la possibilité de satisfaire. Aussi, dans un élan de bonté, elle va chercher 100$ dans son portefeuille et le donne à son époux:
- Mon pauvre chéri, lui dit-elle cause de moi, tu dors mal et en plus, je ne peux plus t'offrir ce qui te fait tant plaisir. Tiens, prends cet argent et va voir la voisine. Elle sera d'accord pour coucher avec toi...
Souviens-toi simplement que ça sera la seule et unique fois, d'accord? Je fais ça pour toi, uniquement parce que je t'aime!
Le mari n'en croit pas ses oreilles. Il prend vite l'argent de peur que son épouse ne change d'avis et s'en va chez la voisine. Quelques minutes plus tard, il est déjà de retour, le visage empreint de déception. Il tend les billets à sa femme et explique :
- Elle a dit que ce n'était pas assez. Elle veut 150$.
À ce moment là , son épouse se met en colère:
- Ha la salope... Quand elle était enceinte et que son mari est venu ici, je ne lui ai demandé que 100$...
| | M. Girard est au tribunal pour répondre du meurtre de sa femme.
- M. Girard, vous avez poussé votre femme en bas des escaliers.
- Mais je l'aimais m'sieur le juge.
- Vous l'avez ensuite frappée à plusieurs reprises.
- Mais je l'aimais m'sieur le juge.
- À-demi consciente vous l'avez traînée dans la rue et là vous avez pris votre voiture et lui avez roulé dessus.
- Mais je l'aimais m'sieur le juge.
- Vous descendez de votre voiture et tirez à dix reprises sur votre femme.
- Mais je l'aimais m'sieur le juge.
- M. Girard, vous ferez vingt ans de travaux forcés.
- Je le savais, je le savais, je le savais donc !
- Comment ça vous le saviez?
- Bien oui ! Quand on aime, on a toujours vingt ans !
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